1 nov., 2020
La plupart des producteurs interrogés considèrent que la biosécurité générale est efficace et importante. Lorsqu'ils ont été interrogés sur des pratiques spécifiques, la majorité d'entre eux les ont perçues comme efficaces, les pratiques liées au contact direct entre animaux étant perçues comme plus efficaces que celles liées aux fomites et aux visiteurs. Toutefois, moins de 20 % des producteurs interrogées ont déclaré avoir discuté de ces pratiques avec un vétérinaire et moins de 60 % ont déclaré les avoir mises en œuvre dans leur exploitation. La menace perçue associée à la non-adoption de ces pratiques s'est avérée minime.
1 nov., 2019
Il y avait un manque d'investigation en cas de syndromes généraux de maladies et de nombreuses mesures de biosécurité importantes, telles que l'hébergement séparé des animaux malades, les troupeaux fermés et la limitation ou le contrôle des visiteurs, n'étaient pas été largement adoptées. La région géographique, le type de logement et la production laitière étaient associés à l'adoption de pratiques de biosécurité par les employés.
1 oct., 2019
La sensibilité et la spécificité d'un test commercial de différenciation leucocytaire du lait (DLL) étaient respectivement de 44 à 77 % et de 54 à 92 % pour l'identification des quartiers (mammite). La proportion de quartiers positifs à la culture bactériologique et l'incidence de la mammite clinique ne différaient pas selon que les vaches aient été traitées selon une approche de traitement uniforme au tarissement ou par de traitement sélectif basé sur les résultats du test DLL.
1 juin, 2019
La présence intra-utérine d'E. coli et de T. pyogenes a été associée à une plus grande probabilité de maladie du tractus reproducteur. Les vaches présentant des souches d'E. coli avec des gènes pour l'acquisition du fer, le transport du maltose et du glucose, la production de toxine hémolysine E et l'augmentation des gènes de survie sérique avaient plus de chances de développer une maladie du tractus reproducteur que les vaches ne présentant pas ces souches d'E. coli.
1 mars, 2019
Le score d'écoulement vaginal (≥ mucus avec du pus) présentait la sensibilité et la spécificité les plus élevées pour le diagnostic des maladies du tractus reproducteur chez les vaches laitières. L'estérase leucocytaire (≥ quantité modérée de leucocytes) avait une précision similaire à celle de la cytologie endométriale (≥ 6 % de neutrophiles). La prévalence moyenne des maladies du tractus reproducteur au sein du troupeau a été estimée à 47,9 %.
1 janv., 2019
1 août, 2018
1 août, 2018
1 janv., 2018
1 janv., 2018